Meilleur employeur de Suisse : qu’est-ce qui distingue Rivella ?

Chaque année, le Handelszeitung et Le Temps déterminent les meilleurs employeurs de Suisse dans le cadre d’une étude représentative. En 2021, c’est le producteur de boissons Rivella SA qui a obtenu la première place. Markus Krienbühl, responsable People & Culture, est convaincu que cette distinction n’est pas le fruit du hasard. Il s’agit au contraire du résultat d’un investissement à long terme visant à renforcer et à développer la culture d’entreprise et la marque employeur. Dans notre interview, Markus Krienbühl livre un aperçu de la culture d’entreprise particulière de Rivella.

 

Qu’est-ce qui a permis à Rivella de se classer en tête des meilleurs employeurs de Suisse ?

À mon avis, il n’existe pas de réponse simple à cette question. Les facteurs sont nombreux. Il est certain que notre culture d’entreprise, fondée sur la confiance, le respect et la reconnaissance, joue un rôle essentiel. Nous sommes persuadés qu’un examen continu et constant de la culture d’entreprise ainsi que la conception et le développement réfléchis de celle-ci à différents niveaux constituent un facteur de réussite essentiel pour relever les défis auxquels nous faisons face, et ont une influence considérable sur l’engagement, la satisfaction et la motivation de nos colla-borateurs.

 

 

Qu’est-ce qui caractérise la culture d’entreprise chez Rivella ?

Nous avons récemment posé cette question à nos cadres. En résumé, notre culture d’entreprise repose sur une base solide, tournée vers les individus, qui met l’accent sur la confiance, la reconnaissance et le respect. Nous accordons une grande liberté de conception et de décision, mais nous l’exigeons aussi. Enfin, l’atmosphère fami-liale, l’esprit d’équipe et le fort engagement envers Rivella sont des éléments typiques de notre culture d’entreprise.

 

Quelles réactions cette distinction a-t-elle provoquées parmi vos employés et auprès du grand public ?

Ce prix a suscité un engouement extraordinaire tant au sein de l’entreprise qu’à l’extérieur. Cette distinction a rendu les collaborateurs très heureux. Pour nous tous, elle est arrivée à point nommé, après une période difficile due à la pandémie. Ce fut un vrai « remontant ». La fierté et la certitude de travailler pour le meilleur employeur continuent de se faire sentir et sont vraiment visibles et palpables. Ce prix a également suscité une grande joie à l’extérieur de l’entreprise. Les innombrables retours et félicitations nous ont montré que Rivella est une marque appréciée et que la joie est partagée d’avoir obtenu ce prix et, surtout, d’avoir réussi, en tant qu’entreprise suisse de taille moyenne, à devancer de (grandes) entreprises nationales et internationales de renom.

 

Qu’est-il nécessaire d’entreprendre pour que Rivella reste à l’avenir l’un des meilleurs employeurs de Suisse ?

Il est important que nous ne nous reposions pas sur nos lauriers. Nous voulons et devons nous développer en tant qu’organisation, nous maintenir en forme et rester un employeur attrayant non seulement pour nos collaborateurs, mais aussi sur le marché du travail. Conscients que la culture d’entreprise et le leadership sont des facteurs essen-tiels, nous poursuivrons le développement de notre culture en visant de nouveaux objectifs.

 

D’après vous, quelles sont les mesures à prendre ?

Le monde du travail évolue également et subit de profonds changements. En tant qu’employeur, nous faisons face à de grands défis. Il faut les anticiper en tenant compte du « New Work » et trouver des solutions adaptées. Nous voulons et devons donc continuer à développer de manière ciblée notre culture d’entreprise, être prêts à nous trans-former, apprendre de nouvelles choses et nous débarrasser de ce qui n’est plus d’actualité, afin de maintenir notre compétitivité et nos performances et de renforcer notre image et notre attractivité en tant qu’employeur. Mon objec-tif est que nous continuions à être l’un des meilleurs employeurs !

12 Fragen an Miriam Baumann

Thomas Breitlinger im Gespräch mit Miriam Baumann, Geschäftsführerin der Läckerli Huus AG. Die Zürcherin Miriam Baumann hat dem Basler Läckerli neue Strahlkraft gegeben. Vor vierzehn Jahren erwarb die Lebensmittelingenieurin und Bundesratstochter das traditionelle Läckerli Huus und hat dessen Angebot erweitert.

Das Interview ist unter PDF abrufbar.

Dieser Beitrag ist durch eine  Kooperation zwischen PROMARCATM  und dem Magazin persönlich entstanden.

 

Je suis heureuse et j’ai toujours le plus beau métier du monde après 30 ans !

Ce qui était autrefois la norme est devenu rare : 30 années de service auprès d’un même employeur. Béatrice Siffert travaille pour Promarca depuis le 1er juillet 1991 et l’a toujours fait avec énergie et dynamisme. Au cours de cette période, elle a connu de nombreux nouveaux collègues, a assisté et contribué à la croissance du nombre de membres, qui est passé de 64 à plus de 100, et a été témoin de quatre déménagements de Promarca.

Nous apprécions beaucoup Béatrice : elle a une personnalité engagée et déterminée avec un grand sens de l’humour et elle a toujours le sourire aux lèvres. Promarca la remercie du fond du cœur de sa loyauté et son engagement sans faille durant toutes ces années – un exploit ! À l’occasion de ce jubilé, nous nous sommes entretenus avec Béatrice et lui avons posé quelques questions.

 

Béatrice, qu’est-ce qui t’a décidé à rejoindre Promarca et à t’engager pour les marques il y a 30 ans ?

Au milieu de la vingtaine, j’ai eu envie d’aller de l’avant et de découvrir un nouveau secteur d’activité. Ma solide expérience commerciale en tant que responsable administrative d’une entreprise de plâtrerie et de peinture et mon style de travail indépendant m’ont encouragé à présenter ma candidature. Promarca recherchait une secrétaire unique et la description du large éventail des tâches me convenait parfaitement 😊 Cependant, en 1991, je n’avais encore eu que très peu de contacts avec l’industrie des produits de consommation. C’était un domaine plutôt nouveau pour moi, mais je l’ai abordé en pleine confiance et avec l’ouverture d’esprit nécessaire. Je suis fascinée par les produits de marque depuis mon enfance : Knorr, Rivella, Cailler, Ovomaltine, les biscuits Kambly, pour ne citer que quelques marques, ont toujours été de fidèles compagnons.

 

Qu’apprécies-tu particulièrement dans ton travail ?

J’apprécie vraiment la simplicité de l’environnement, la petite équipe (Anastasia, Laura et moi) et les échanges animés avec les membres, que j’ai appris à beaucoup apprécier au fil des années passées à Promarca. L’autonomie et le fait que je puisse contribuer activement à l’équipe comptent beaucoup pour moi. J’apprécie également de faire partie d’une culture d’entreprise professionnelle et positive, travaillant sur une grande variété de sujets – toujours au bénéfice de nos membres reconnaissants qui rendent l’existence de Promarca possible. Et la haute estime que je reçois toujours pour mon engagement est également essentielle. En bref : je suis heureuse et j’ai toujours le plus beau métier du monde après 30 ans.

 

Peux-tu spontanément nous raconter une anecdote que tu as vécue chez Promarca ?

Oui, il y a une histoire amusante qui remonte au début de mon activité en 1991. En été, le bureau a déménagé de Zurich à Berne et de nouvelles personnes ont été engagées. Les nouveaux esprits apportent de nouvelles idées, comme nous le savons tous… 😉 Promarca a organisé sa traditionnelle réunion d’automne, qui était alors le nom du forum actuel. Cependant, le lieu de rendez-vous était alors Montreux et non plus Interlaken. Par pure habitude, certaines personnes se sont en fait rendues à Interlaken, à l’hôtel Victoria-Jungfrau, et se sont étonnées de notre absence. On ne pouvait pas leur en vouloir, après tout, l’événement avait toujours eu lieu à Interlaken au cours des décennies précédentes. Pour nous, ce fut alors très clair : ne jamais rompre avec des traditions chères.

 

Comment décrirais-tu Promarca en quelques mots ?

Promarca est une petite association efficace, une organisation de services ouverte, compétente et engagée, respectée par les entreprises, la politique et les autorités.

 

Qu’est-ce qui t’apporte le sourire aux lèvres ?

Une joyeuse compagnie, et quand le soleil brille !

 

Comment occupes-tu ton temps libre ?

Je suis une grande épicurienne et j’apprécie beaucoup les belles choses de la vie. Les rencontres avec la famille et les amis sont très importantes pour moi. J’aime occuper mon temps libre de manière active en plein air dans la belle nature. Les excursions en VTT, les sorties de jogging régulières, l’ascension de sommets et la plongée dans des destinations lointaines m’apportent un sentiment de bonheur. Mais j’apprécie aussi les moments tranquilles à la maison et je suis le football et le sport en général à la télévision. Et s’il me reste du temps, je me plonge dans la lecture de romans policiers passionnants.

 

Que souhaites-tu pour l’avenir ?

Avant tout, j’espère sincèrement que mes proches et moi-même resterons en bonne santé. J’ai une attitude positive et je m’efforce de continuer à acquérir de nombreuses expériences merveilleuses, tant sur le plan privé que professionnel. Je souhaite également contribuer au succès et au développement de Promarca. Ma passion pour Promarca n’est nullement éteinte !

Mettre toutes les chances de son côté et rester agile

Chères amies et chers amis du monde des marques,

En 2021, l’industrie de l’article de marque a fait preuve d’une agilité exemplaire. Les processus ont souvent dû être entièrement repensés afin d’assurer la sécurité de ses propres collaborateurs et de poursuivre la production sans interruptions. Si la fermeture forcée des établissements de restauration et des magasins du commerce de détail ainsi que les obstacles en matière d’exportation ont conduit à des pertes de chiffre d’affaires pour certains des membres de Promarca, l’industrie de l’article de marque a cependant rapidement appris à s’adapter à cette situation et à la maîtriser. Le confinement a induit une croissance du volume d’achats en ligne et un recul du volume d’achats spontanés. Les articles de marque en ont profité. En raison de la fermeture des frontières pendant plusieurs mois, les consommateurs ont de nouveau acheté davantage en Suisse. À l’avenir, une forte présence en ligne, le service, la transparence et une nouvelle expérience client seront demandés plus que jamais et continueront de soutenir l’industrie et les détaillants.

 

Collaboration d’égal à égal

 

Créer les bonnes conditions cadres pour les entreprises d’articles de marque constitue l’un des objectifs de notre Union, que nous poursuivons avec engagement depuis des années. La haute concentration au niveau du commerce de détail en Suisse est et reste pour l’industrie de l’article de marque l’un des défis majeurs. Justement, le confinement a prouvé qu’une collaboration étroite, constructive et partenariale entre le commerce et l’industrie permet d’assurer aux chaînes de production de rester attrayantes et de garder la confiance des consommatrices et consommateurs. S’il est usuel que des négociations dures mais loyales aient lieu dans le cadre de tout partenariat, nous sommes cependant d’avis que certaines pratiques vont trop loin.

L’attitude de Migros consistant à exiger des réductions sur le prix de revient excessives et irréalistes nous a amenés, au printemps, à déposer une plainte auprès du Secrétariat de la Commission de la concurrence en raison d’abus de pouvoir. Ce détaillant se trouve actuellement encore sous observation du marché.

D’autre part, l’affiliation de Coop à l’organisation Markant annoncée en 2020 a mis beaucoup de choses en mouvement (parmi les établissements associés, on trouve notamment Volg, Manor, Spar, Valora et Pistor). De notre point de vue, certaines pratiques commerciales de Markant méritent d’être examinées sous l’angle du droit des cartels. Pour les fabricants d’articles de marque, Coop constitue néanmoins le principal canal de distribution au niveau de l’ensemble du marché suisse. Le fait que les fournisseurs, à cause de Markant et nouvellement à cause de l’affiliation de Coop à cette organisation, soient forcés de payer des frais toujours plus élevés pour de prétendus services qu’ils ne veulent pas toujours et dont ils n’ont pas toujours besoin me laisse perplexe. Étant donné que pour de nombreux membres, la part de Markant avec Coop constitue plus d’un tiers de leur chiffre d’affaires en Suisse, la dépendance et la crainte de représailles telles que le déréférencement de certains articles, voire de lignes de produits entières, et d’arrêts de promotions sont énormes. Dans une telle situation, confrontées à des exigences drastiques, comment les entreprises peuvent-elles négocier d’égal à égal si elles ont la peur au ventre ?
Au printemps, l’Union a déposé une plainte contre le système Markant ainsi que contre son alliance avec Coop. À l’automne, la Commission de la concurrence a ouvert un examen contre Markant et plusieurs perquisitions ont eu lieu. Au début de cette année, nous avons en outre été informés qu’un examen préliminaire est en cours contre Coop.

 

Avancée technologique dans le monde du travail

 

L’année 2020 a provoqué un séisme numérique généralisé, aussi chez Promarca. Les vidéoconférences sont devenues usuelles et presque toutes les séances se sont tenues sous forme numérique. La salle de réunion de Promarca a donc été mise à niveau et l’Union a organisé son premier webinaire sur le thème « La gestion des marques après Corona, futurs scénarios ». Entretemps, les webinaires sont devenus partie intégrante de nos prestations de service.

Nos Journée de la marque et forum Promarca, événements si appréciés, n’ont malheureusement pas pu avoir lieu en 2020. Nous étions d’autant plus ravis d’avoir pu attribuer nos prix, bien que sous une autre forme. Ricola a été élue par les consommateurs en tant que marque la plus digne de confiance et a ainsi obtenu la distinction « Promarca Brand of the Year ». La valorisation des efforts d’innovation de nos membres nous tient très à cœur et gardera, à l’avenir aussi, une place importante. La distinction « Promarca Star Award » a quant à elle récompensé la branche Ovomaltine en tant que favori des consommateurs en matière d’innovation, tandis que le prix « Promarca Explorer Award » a été décerné par le jury aux produits de douche et shampoings compacts de Nature Box en tant qu’innovation phare.

Vous avez peut-être remarqué que notre site Internet a pris un coup de jeune ? La mise à jour de septembre 2020 lui a fait gagner en modernité. Nous mettons désormais davantage à profit cette plate-forme pour une communication ciblée. Nous publions régulièrement des contributions sur notre blog et des contributions spécialisées sur les thèmes des marques, de la protection des marques et de la durabilité. Il vaut ainsi la peine de consulter régulièrement notre site Internet.

 

Faire le bien grâce à la puissance des marques

 

Nos entreprises membres s’engagent pour une Suisse écologique et ouverte, et soutiennent depuis plusieurs années les 17 objectifs de développement durable de la Confédération ainsi que les « Sustainable Development Goals » (SDG) de l’ONU. La durabilité est une préoccupation importante non seulement pour nos membres, mais aussi pour nous. Notre secrétariat est neutre en émissions de CO2 depuis l’an dernier et le thème de la durabilité est devenu un thème clé pour l’Union. En juillet 2020, nous avons fondé la Commission durabilité (NAKOM). Cette commission consultative de l’Union se consacre de manière approfondie aux questions relatives au développement durable au sens large. Elle élabore entre autres des prises de position politiques. La commission se compose de personnes responsables de la durabilité au sein d’entreprises membres. Nous nous réjouissons de pouvoir initier et mettre en œuvre avec vous des projets d’avenir passionnants.

Aspect réjouissant de notre travail, nous avons eu le plaisir de souhaiter la bienvenue à de nombreux nouveaux membres au sein de notre Union. En tant que voix engagée en faveur des marques, nous souhaitons soutenir − à l’avenir également − la compréhension pour la valeur des marques, transmettre les connaissances spécifiques aux marques ainsi qu’encourager une concurrence loyale sur un marché libre.
Nous vous souhaitons une santé de fer et espérons que cette année pourra être fructueuse pour nous tous et que nous pourrons nous développer de manière à être bien préparés aux changements futurs. Promarca est à vos côtés.

 

Monique Bourquin
Présidente de Promarca

 

Éditorial de la présidente (rétrospective 2020)

Stellungnahme zur Chemikalien-Risikoreduktions-Verordnung

Als engagierte Stimme der Marken vertritt Promarca die Interessen von 101 Markenunternehmen, die in der Schweiz ihre Markenprodukte herstellen und verkaufen. Ein Teil unserer Mitglieder ist von den geplanten Änderungen der ChemRRV bzw. der Pflanzenschutzmittelverordnung (PSMV) betroffen.

Ziel und Aufgabe der betroffenen Markenunternehmen ist, den Konsumenten Produkte anzubieten, die weder die Umwelt noch die eigene Sicherheit gefährden. Die Hersteller und Vertreiber von Pflanzenschutzmitteln für die nichtberufliche Verwendung haben in den letzten Jahren erhebliche Anstrengungen unternommen, um die Sortimente den neuen Zulassungsbedingungen für die nichtberufliche Verwendung anzupassen. Zudem wurden umweltgefährliche Stoffe laufend durch ungefährlichere Mittel ersetzt und das Sortiment von Produkten für den biologischen Landbau ausgeweitet.

 

Geplante Änderungen sind nicht zielführend

Die geplanten Änderungen sind nicht zielführend, da Produkte nicht mehr zugelassen werden würden, welche auch unter ökologischen Aspekten förderungswürdig sind. Insgesamt würden diese Änderungen der ChemRRV dazu führen, dass schätzungsweise 70% der heute im nichtberuflichen Bereich verwendeten Pflanzenschutzmittel künftig nicht mehr erlaubt wären. Dies führt bei den Unternehmungen zu höhen Umsatzeinbussen. Nicht nur Firmen sind davon betroffen, auch Verbraucherinnen und Verbraucher würden stark in ihrer Wahl eingeschränkt werden.

 

Schaffung von Handelshemmnissen und Förderung illegaler Beschaffung von Pflanzenschutzmitteln

Mit den vorgeschlagenen Änderungen würde die Schweiz einen Sonderweg einschlagen, der weit über die bestehenden Regelungen der EU hinausgehen würde. Generell würden neue Handelshemmnisse geschaffen.

Die allgemein angestrebte Harmonisierung wird nicht erreicht – im Gegenteil, denn es provoziert die illegale Beschaffung von Pflanzenschutzmitteln aus dem benachbarten Ausland. Verbraucherinnen und Verbraucher könnten als Folge verstärkt nicht zugelassene oder risikoreichere Produkte im Internet einkaufen. Der Einsatz solcher Pflanzenschutzmittel könnte dann möglicherweise besonders schädlich für Anwender und Umwelt sein.

Wir sind der Meinung, dass Änderungen der ChemRRV zwingend geeignet, notwendig und angemessen sein müssen, um den beabsichtigten zusätzlichen Schutz von Anwendern und Umwelt zu erreichen. Insbesondere müssen die Massnahmen in einem angemessenen Verhältnis zu den damit verbundenen gravierenden Einschränkungen für Verwender und Hersteller stehen. Bei einem pauschalen Verbot von Herbiziden und Konzentraten wird diese Voraussetzung nicht erfüllt.

Les faits et chiffres : Rétrospective 2020

L’innovation

Les fabricants d’articles de marque établissent des standards en matière d’innovation et de compétence produit, qui servent de référence à la concurrence. En 2020, les membres de Promarca ont lancé 6 432 nouveaux produits de marque en Suisse et ils exploitent au total 1 845 marques actives. La même année, ils ont enregistré 71 nouvelles marques et déposé 57 nouveaux brevets.

 

Emplois

Les entreprises d’articles de marque créent et préservent des emplois, investissant dans des sites de production, la communication, la promotion des ventes et d’autres services. En tenant compte des entités internationales dotées d’un siège en Suisse, l’industrie de l’article de marque génère un peu plus de 30 000 emplois. Elle constitue ainsi un important moteur de la concurrence et un pilier de l’économie.

 

Investissements

Les fabricants d’articles de marque créent non seulement des emplois et exploitent des sites, mais s’engagent également dans la recherche et le développement et ils investissent daans le marketing et la vente et encouragent la formation initiale et continue de leurs collaborateurs. En 2020, les membres de Promarca ont investi plus de CHF 670 millions dans la place économique suisse.

 

Tradition

Innovation, qualité supérieure, fiabilité, vecteur d’émotions : avant de devenir une marque, un produit doit convaincre les consommatrices et les consommateurs. Cette réussite requiert des dizaines d’années de performance exceptionnelle des fabricants qui, en Suisse, se targuent souvent d’une histoire riche et longue.

 

Engagement

Les entreprises de marque soutiennent des organisations d’aide suisses et internationales. Elles font des dons à la Croix-Rouge suisse, à la Ligue contre le cancer ou encore à Pro Juventute, offrent des produits à Table couvre-toi ou à Table Suisse et permettent à des événements sportifs et culturels de voir le jour à travers le pays grâce à leurs contributions de sponsoring. Les membres de Promarca s’impliquent également dans des projets relatifs aux déchets alimentaires ou en « Clean-up-Day ».

Spécial marques – Marques et durabilité

Dans l’édition spéciale «Marques»  la «Handelszeitung» montre comment les fabricants de produits de marque abordent la question de la durabilité et quels efforts et innovations ils mettent en œuvre pour assurer une offre plus durable.

Des faits et des chiffres, ainsi que des reportages et des comptes rendus, expliquent également l’importance économique de la branche et les défis actuels de la politique et des affaires.

Pour finir, le supplément se consacre aux lauréats du prix annuel «Promarca Brand of the Year» avec des interviews et des portraits.

 

 

Rédacteur en chef : Florian Fels, Handelszeitung

La spéciale est le résultat d’une coopération entre Handelszeitung et Promarca.

Les consommateurs suisses s’intéressent aux marques authentiques et innovantes

Promarca a décerné le titre de « Brand of the Year » pour la 7e fois de son histoire. Cette année, celui-ci a été attribué à Beyond Meat®, la marque la plus dynamique parmi les membres de l’association.

Depuis 2019, Beyond Meat® est distribué par notre membre FFF Fresh and Frozen Food AG. Félicitations !

11 Fragen an Gregory Carrier

Thomas Breitlinger im Gespräch mit Gregory Carrier, Managing Director Moët Hennessy Schweiz, über Luxusgüter und -Getränke in schwierigen Zeiten.

Moët Hennessy Schweiz wurde 1986 gegründet und ist heute der führende schweizerische Distributionsdienstleister von (Luxus-) Weinen und Spirituosen. Das Unternehmen strebt die Entwicklung und die Verstärkung des Luxus-Portfolio von Champagner und Spirituosen auf dem Schweizer Markt an. Dazu gehören 19 Marken aus den Bereichen Champagner, Cognac, Whisky, Wodka, Tequila und Weinen. Das Unternehmen ist in Eysins (Kanton Waadt). Das Interview finden Sie unter PDF.

Dieser Beitrag ist durch eine  Kooperation zwischen PROMARCATM  und dem Magazin persönlich entstanden.

11 Fragen an Ralf Gehlen

Thomas Breitlinger im Gespräch mit Ralf T. Gehlen, Geschäftsführer von Procter & Gamble Switzerland SARL. Ralf T. Gehlen arbeitet seit 30 Jahren beim amerikanischen Konsumgüterkonzern Procter & Gamble, seit 11 Jahren ist er Country Manager der Schweizer Niederlassung, die in Schlieren bei Zürich angesiedelt ist. P&G Switzerland wurde 1953 in Luzern gegründet und war die erste Vertretung im deutschsprachigen Raum. Zu den bekanntesten P&G-Marken gehören Braun, Ariel, Febreze, Gillette oder Pampers. Das Interview finden Sie unter PDF.

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