Stop Piracy – Fälschungen kommen der Schweiz teuer zu stehen

Der Verein Stop Piracy wurde im Jahre 2007 auf Initiative des Eidgenössischen Institut für Geistiges Eigentum und des Schweizer Komitees der Internationalen Handelskammer gegründet. Es ist eine öffentlich-privaten Partnerschaft welcher es im Laufe der Jahre gelungen, ihr Profil auf dem Gebiet der Bekämpfung von Fälschung und Piraterie zu schärfen. Der Kampf gegen Fälschung und Piraterie erfordert eine enge Zusammenarbeit, die im digitalen Zeitalter wichtiger ist denn je. Angesichts der gravierenden Folgen und der grossen Gefahren von Fälschung und Piraterie müssen sich die Konsumentinnen und Konsumenten ihrer Verantwortung in Bezug auf dieses schmutzige Geschäft bewusst werden.

Mit verschiedenen Sensibilisierungsaktionen und entsprechender Pressearbeit kann der Verein das Thema einer breiten Öffentlichkeit näher bringen. Denn das Nachsehen in der Fälschungs-problematik, haben die Konsumentinnen und Konsumenten, welche irregeführt werden und im Fall von gefälschten Ersatzteilen, Medikamente und Konsumgüter in ihrer Gesundheit und Sicherheit gefährdet werden. Aber auch die Schweizer Unternehmen, welche immense wirtschaftliche Einbussen und Reputationsschäden erleiden.

 

Einblick in verschiedene Sensibilisierungsaktionen:

 

Medienkonferenz: Fälschungen kommen die Schweiz teuer zu stehen – so das Fazit einer neuen OECD Studie

Erstmals brachte eine Studie den durch Fälschungen in der Schweiz verursachten wirtschaftlichen Schaden ans Licht. Die Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD) hat berechnet, dass Schweizer Marken- und Patentinhaber im Jahr 2018 um über vier Milliarden Franken Umsatz betrogen worden sind. An der online Medienkonferenz, wurden die wirtschaftlichen Auswirkungen in den besonders betroffenen Branchen Uhren, Maschinen-, Elektro- und Metall-Industrie, schnelllebige Konsumgüter und Pharma durch Stellungnahmen der Branchenvertreter erläutert.

Vernichtungsaktion von gefälschten Produkten

Im Zusammenhang mit dieser Medienkonferenz und zum Untermauern dieser Zahlen, hat Stop Piracy zwei eindrückliche Vernichtungsaktionen durchgeführt. Über 1, 5 Tonnen gefälschter Uhren wurden platt gewalzt. Diese Uhren stammen aus Internetbestellungen von Schweizer Konsumente über einen Zeitraum von rund 5 Jahren. Tausende von Pillen wurden hier fachgerecht verbrannt. Es sind praktisch alles rezeptpflichtige Medikamente und kommen aus der ganzen Welt. Die Uhren sowie die Medikamente wurden in Zusammenarbeit mit der eidgenössischen Zollverwaltung beschlagnahmt.

Digitale Kampagne auf Instagram – dem Shoppingeldorado für gefälschte Markenprodukte

DON‘T BE FAKE. BE ORIGINAL – so der Slogan dieser im März 2021 durchgeführten Kampagne. Um gerade junge Erwachsene für die Hintergründe von Fälschungen und Piraterie zu sensibilisieren, wurden die Identitäten bekannter InfluencerInnen gefälscht und in ihrem Namen Werbung für Uhren, Parfums und Nahrungsergänzungsmittel gemacht, die es überhaupt nicht zu kaufen gibt. Statt in ominösen Onlineshops, landeten die potentiellen Online-Shopper auf einer speziellen Landingpage von Stop Piracy welche sie mit einer klaren Botschaft zum Thema überraschte. Selbstverständlich waren alle InfluencerInnen eingeweiht, haben ihre Follower auf die Fakes im Netz aufmerksam gemacht und sich für die Arbeit von STOP PIRACY ausgesprochen.

Wie kann ich mich schützen, respektive wie können Fälschungen erkannt werden?

Selbst auf etablierten Plattformen ist man nicht immer sicher vor minderwertig gefälschten Produkten. Für den Verbraucher wird es zunehmend anspruchsvoller, Fake Shops zu erkennen. Diese sind teilweise sehr professionell gestaltet sind und verwenden oft gefälschte Gütesiegel.

 

Es gibt jedoch einige grundlegende Tipps, wie man gefälschte Ware oder unseriöse Seiten erkennen kann:

  1. Einer der wichtigsten Indikatoren ist und bleibt der Preis. Ist die Preisdifferenz zum Originalprodukt realistisch? Vermeintliche Schnäppchen entpuppen sich oftmals als Fälschungen oder Piraterieprodukte.
  2. Fehlende oder unkorrekte Kontaktangaben: kein Impressum mit Adresse, keine E-Mail und Telefonnummer des Anbieters.
  3. Rechtschreibung und Grammatik: Sind die Informationen auf der Website oder AGB fehlerhaft geschrieben oder maschinenübersetzt?
  4. Rückgaberecht oder Garantie: Unseriöse Händler bieten diese Leistungen selten an.
  5. Zahlungsmethoden und Versand: keine bekannten Zahlungsmittel und sehr lange Versandzeiten können ebenfalls ein Hinweis auf ein unseriöses Angebot sein.

 

Trions en beauté !

L’Oréal Suisse mène une campagne de sensibilisation au tri des emballages de produits cosmétiques en collaboration avec Swiss Recycling.

Les flacons de vernis à ongles vont-ils au verre une fois vides ? Est-il nécessaire de retirer le système de pompe d’un flacon de lotion corporelle avant élimination ? Un flacon de shampoing en plastique est-il recyclable ? Autant de questions auxquelles L’Oréal Suisse, en collaboration avec Swiss Recycling, apporte des réponses avec sa campagne de sensibilisation au tri des emballages de produits d’hygiène et de beauté « Trions en beauté ».

 Aujourd’hui, les attentes des consommateurs en termes d’emballage sont très élevées et en quelque sorte paradoxales. Un emballage doit non seulement protéger la formule pour en garantir la performance et l’efficacité, il doit aussi procurer une expérience utilisateur optimale, être un support de communication permettant de percevoir la valeur clé du produit d’un seul coup d’œil, être attractif et… durable.

Traiter la question des déchets à la source

Puisque l’emballage représente une part importante de l’empreinte globale d’un produit cosmétique, L’Oréal a mis en œuvre en 2007 déjà une stratégie d’emballage durable basée sur les 3 piliers « Respecter », « Réduire » et « Remplacer ». D’ici à 2030, L’Oréal s’engage à réduire de 20% la quantité d’emballage de ses produits et de faire en sorte que 100% de ses emballages plastique soient d’origine recyclée ou biosourcée. Le Groupe s’est d’autre part fixé comme objectif de rendre 100% de ses emballages rechargeables, recyclables ou compostables d’ici à 2025, contribuant ainsi à la circularité des matériaux.

Le tri sélectif : un défi pour les emballages de produits cosmétiques

Toutefois, la réutilisation durable des matériaux ne peut réussir de manière optimale que si le consommateur final apporte sa contribution. Pour garantir le recyclage ou la valorisation des matériaux, une séparation correcte des déchets est primordiale. Si les Suisses sont de gros générateurs de déchets (en moyenne 700 kg de déchets par an et par tête d’habitant), ils n’en sont pas moins des champions du tri avec plus de 50% des déchets ménagers triés et collectés. En Suisse, en présence d’un système de tri sélectif qui a fait ses preuves, le tri des emballages de produits d’hygiène et de beauté constitue cependant un défi pour deux raisons : la variété des matériaux d’une part et le manque d’informations spécifiques à cette catégorie d’autre part. De nombreux emballages de produits cosmétiques finissent ainsi dans les ordures ménagères alors qu’ils pourraient être recyclés.

Une campagne portée par Swiss Recycling et les marques de L’Oréal

En tant que partenaire de « Trions en beauté », Swiss Recycling apporte son expertise sur toutes les questions parfois complexes relatives au tri sélectif en Suisse. L’organisation crée aussi une rubrique consacrée au tri des emballages cosmétiques sur son site web swissrecycling.ch, ainsi qu’une clé d’entrée cosmétique par type de matériau valorisable. La thématique du tri des emballages de produits d’hygiène et de beauté sera dorénavant intégrée aux formations à destination des professionnels de la gestion des déchets.

La campagne « Trions en beauté » sera progressivement portée par les différentes marques de L’Oréal commercialisées en Suisse. Ces dernières relayeront le message « Trions en beauté » ainsi que le lien vers la plateforme dédiée trionsenbeaute.ch sur leurs campagnes de publicité tous supports confondus, leurs réseaux sociaux et sur le point de vente.

Cette plateforme est destinée à accompagner les consommateurs dans leur démarche de tri. Elle explique notamment la façon de trier chacun des différents emballages de produits d’hygiène et de beauté en fonction des matériaux qui le composent, souligne l’importance d’une séparation correcte des déchets tout en encourageant à une large mobilisation.

« Au-delà de proposer des formules et des emballages les plus vertueux possibles, notre responsabilité en tant que leader de la beauté est d’inciter nos consommateurs à adopter des modes de consommation plus durables », explique Sophie Berrest, Country Manager de L’Oréal en Suisse. « Cette campagne a pour objectif de les accompagner dans une démarche de tri des emballages de leurs produits de beauté et de contribuer ainsi à l’économie circulaire, fer de lance de la stratégie packaging de L’Oréal. »

« Nous saluons l’initiative de L’Oréal car c’est un très bon exemple de responsabilité des producteurs. La gestion durable de l’économie circulaire ne peut fonctionner que si tout le monde agit dans le même sens. », souligne pour sa part Patrik Geisselhardt, Directeur de Swiss Recycling. « La conception, la collecte, le recyclage et l’utilisation de matériaux recyclés doivent être assurés, et cela inclut la communication. Swiss Recycling est heureux d’apporter son soutien à cet égard et se réjouit de la poursuite de cette bonne coopération. »

La campagne « Trions en beauté » s’articule autour de l’ambitieux programme de développement durable L’Oréal pour le Futur, qui prévoit des engagements précis à horizon 2030, dont la promotion de la circularité des matériaux dans tous les marchés dans lesquels le Groupe opère.

Die Bevölkerung schätzt lokale Unternehmen

Sechs Promarca-Mitglieder haben sich für die Top 10 im Bereich « Reputation Unternehmen » des GfK Business Reflector qualifiziert – das freut uns sehr. Anlässlich dieses Erfolges führte Promarca ein Gespräch mit Dr. Anja Reimer, GfK Senior Research Consultant, zum GfK Business Reflector.

 

Seit wann gibt es den GfK Business Reflektor und was ist sein Ziel?

Der GfK Business Reflector ist seit 15 Jahren das führende, unabhängige Reputationsranking der Schweiz. Das Ranking zeigt auf, wo ein Unternehmen im Vergleich zu anderen führenden Unternehmen steht und wie sich die Reputation im Zeitverlauf verändert. Damit stellt der GfK Business Reflector ein einzigartiges Reputationsbenchmarking zur Verfügung, das als Basis für das Reputationsmonitoring und Reputationsmanagement dient.

 

In der diesjährigen Ausgabe (Reputation) sind sechs Markenunternehmen unter den Top Ten, überrascht Sie das?

Seit Jahren sind in den Top 10 viele Konsumgüterhersteller vertreten. Die Schweizer Bevölkerung schätzt diese lokalen Unternehmen und haben oftmals auch eine sehr enge emotionale Bindung zu diesen Unternehmen – sie sind fester Bestandteil des Alltags und stehen für das «Schweizer Lebensgefühl».

 

Hat die Pandemie aus Ihrer Sicht einen Einfluss auf die Resultate gehabt?

Ja, das hat sie. Insbesondere bei Unternehmen, die sich während der Pandemie stark für die Bevölkerung eingesetzt haben: Lonza beispielsweise hat sich um 16 Ränge verbessert. Aber auch die Pharma-Unternehmen Roche und Novartis haben sich um etliche Ränge verbessert. Andererseits sehen wir bei Unternehmen wie der Swiss auch Reputationsverluste: die zahlreichen Flugannullierungen und die damit verbundene Planungsunsicherheit sowie v.a. auch die langen Wartezeiten bei den Ticket-Rückerstattungen haben die Schweizer verärgert und wirken sich negativ auf die Reputation aus. Bei den Konsumgüterherstellern hat die Pandemie keinen wesentlichen Einfluss auf die Reputation.

 

Was empfehlen Sie Unternehmen, die in Zukunft ihr Ranking noch verbessern möchten?

Diese Frage kann nur individuell beantwortet werden, da Reputation vielschichtig ist und von verschiedenen rationalen, emotionalen und sozialmoralischen Einflussfaktoren abhängt. Wir empfehlen Unternehmen, sich die Detailresultate des Business Reflectors anzuschauen und bei Bedarf auch spezifische Reputationsstudien zu planen, mit denen ganz konkrete Massnahmen für eine Reputationssteigerung eruiert werden können. Gern stehen wir dafür beratend zur Seite.

15 Fragen an Christine Lefebvre

Thomas Breitlinger im Interview mit Christine Lefebvre, Directrice générale bei Savencia Fromage & Dairy Suisse SA im fribourgischen Cressier-sur-Morat. Die Schweizer Niederlassung ist Teil eines familiengeführten und börsenkotierten französischen Milchindustriekonzerns, der sich auf Käse spezialisiert hat. In der Schweiz arbeiten rund 20 Mitarbeitende für Savencia. Der Hauptfokus liegt auf französischen und europäischen Käsespezialitäten.

Dieser Beitrag ist durch eine  Kooperation zwischen PROMARCATM  und dem Magazin persönlich entstanden.

« Direct to Consumer Strategien in der Schweiz »: Im Gespräch mit Severin Lienhard

Das Team von Prof. Dr. Schögel (Associate Professor am Institut für Marketing HSG)  und Severin Lienhard (Doctoral Research Associate am Institut für Marketing HSG) haben in einer Umfrage mit 58 Managern von FMCG Herstellern in Zusammenarbeit mit Promarca den Status Quo von D2C Strategien erhoben. Am 26. Februar 2021  fand das  Promarca Webinar zum Thema «Direct to Consumer» statt , an welchem Severin Lienhard  die Resultate präsentiert hat.

Promarca im Gespräch mit Severin Lienhard.

 

Was ist der Hintergrund des Forschungsprojektes zu D2C Strategien?

Seit mehreren Jahren beobachten wir in den USA oder europaweit, dass Hersteller aus u.a. FMCG, Kleidung oder Uhren, vermehrt Ansätze aufbauen, direkt an den Endkunden zu vertreiben. In der Konsequenzen haben wir uns gefragt, wo stehen die Hersteller in der Schweiz. Da ich mich in meiner Dissertation Direct-to-Consumer (D2C) Strategien widme und Channel Management ein wichtiges Forschungsgebiet bei Prof. Marcus Schögel ist, haben wir das Projekt lanciert. Um die Managerperspektive zu untersuchen, sind wir auf den Promarca Verband zugegangen.

 

Wie seid Ihr vorgegangen und was sind die Kernerkenntnisse?

Da Anastasia Li ebenfalls grosses Interesse am Thema zeigte, durften wir die Umfrage an Ihre Mitgliederunternehmen versenden. Darüber hinaus haben wir die Umfrage auch via Linkedin und an private Kontakten versendet.

Die Ergebnisse zeigten uns auf, dass die Mehrheit der befragten ManagerInnen das Thema D2C Strategien bei sich im Unternehmen eher noch ganz am Anfang einordnet. Gerade aus einer Umsatzsicht zeigt sich klar, dass die allermeisten stark von B2B (bspw. Coop) abhängig sind. Nichtsdestotrotz schätzen die Befragten die Wichtigkeit für die Zukunft als sehr hoch ein, auch was die Umsatzentwicklung betrifft. Es wird klar Wachstum erwartet. Darüber hinaus sollte nicht unterschätzt werden, dass nicht nur Umsatzziele im Fokus stehen müssen. Genauso kann Lernen, aber vor allem auch Engagement aufzubauen, das wichtigste Ziel sein.

 

Wo liegen die Kernherausforderungen aus deiner Sicht für FMCG Unternehmen im Vergleich zu anderen Branchen?

Grundsätzlich kann aus meiner Sicht gesagt werden, dass sich viele Unternehmen aus unterschiedlichen Branchen schwer tun, D2C Strategien erfolgreich zu betreiben. Dies ist keine Eigenheit von FMCG Herstellern.  Hingegen denke ich insbesondere an die Produktcharakteristiken, welche bei FMCG Unternehmen die Herausforderung nicht schmälern: relativ tiefe Preise pro Produkt, hohe und heterogene Qualitätsanforderungen bis hin zu Preisaspekten. Schokolade zu versenden ist im Sommer gut zu planen auf operationeller Ebene, ansonsten erhält der Kunde Schokoladencrème. Beim Glacé genauso, dafür kann es sehr gut durch direkte offline Kanäle vertrieben werden. Siehe bspw. die Mövenpick Boutiquen.

 

Wie entwickelt sich euer D2C Projekt am Institut für Marketing an der HSG weiter?

In unserer Forschung, respektive meiner Dissertation, werde ich den Fokus weiter darauf richten, wie etablierte Hersteller D2C Strategien erfolgreich betreiben können. Dafür arbeiten wir häufig in Forschungsprojekten mit Unternehmen zusammen, wodurch Praxis und Theorie kombiniert werden können.

Stick & Go, une solution logistique innovante et plus écologique

Stick & Go permet d’économiser d’innombrables tonnes de film plastique pour le transport grâce à une combinaison inédite de colle à chaud et de ficelle d’attache.

On trouve dans presque tous les grands dépôts de Suisse des palettes de produits finis qui doivent être stabilisées à l’aide de film plastique épais pour la distribution. Une solution inédite a désormais été trouvée pour remplacer complètement ce film plastique par une combinaison de colle à chaud antiglisse et de ficelle d’attache. Le carton peut être recyclé malgré la colle.
Stick & Go a été élaboré par JTI en collaboration avec les entreprises suisses Robatech (fabricant de l’appareil de colle à chaud) et Bornbinder (fabricant du système d’attache des palettes). La nouveauté a déjà fait ses preuves lors de tests effectués avec l’entreprise de transports Galliker.
Avec Stick & Go, la société JTI est en mesure d’économiser à elle seule 200 tonnes de plastique par an à l’échelle du groupe. En outre, Stick & Go présente un avantage de 1 franc par palette par rapport à l’utilisation d’un film plastique. Cette innovation représente donc une alternative écologique au plastique idéale pour de nombreuses entreprises.
JTI prévoit d’appliquer petit à petit cette nouvelle méthode d’emballage partout dans le monde. Outre en Suisse, elle devrait être déployée en 2021 en Andorre, au Canada, en Allemagne, en Iran, aux Philippines, en Pologne, en Roumanie, en Russie, en Suède, en Turquie et en Ukraine. Le potentiel s’annonce aussi énorme pour d’autres entreprises du monde entier.

JTI Suisse a obtenu la deuxième place au renommé Swiss Logistics Award « GS1 Switzerland 2020 » pour son projet de logistique Stick & Go.

 

Stellungnahme «Strategie Nachhaltige Entwicklung 2030»

Die Stossrichtung und die Schwerpunktsetzung der Vernehmlassung begrüsst Promarca sehr. Unsere Mitgliedsunternehmen bekennen sich zu einer nachhaltigen und fortschrittlichen Schweiz und unterstützen die 17 Nachhaltigkeitsziele des Bundes seit mehreren Jahren. Ebenso die «Sustainable Development Goals» (SDG) der UNO.

Aus Sicht von Promarca ist es zielführend, dass die Schweiz ihre Nachhaltigkeitsstrategie entlang der UN-Agenda 2030 ausrichtet und fortentwickelt. Der Verband begrüsst die vom Bundesrat verfolgte Umsetzung dieser Ziele in der Schweiz – dies stets unter dem Vorbehalt, dass das Verhältnis zwischen der Strategie und dem ordentlichen Gesetzgebungsprozess gut abgestimmt ist.

Klare und einheitliche Rahmenbedingungen schaffen für die Wirtschaft

Die Markenartikelindustrie setzt auf eine partnerschaftliche Zusammenarbeit mit dem Bund und seinen Ämtern. Es ist wichtig, dass der Bund die Bestrebungen der Markenunternehmen unterstützt, in dem er klare Rahmenbedingungen schafft, um diese Ziele zu erreichen. Die Markenartikelindustrie ist Treiber von Innovation. Damit diese Innovationstätigkeit weiter gefördert wird, sollte der Bund den Weg ebnen, damit Innovationslabs schneller gegründet werden können. Beispielsweise mit weniger bürokratischen Hürden bei der Betreibung eines zeitlich begrenzten Testbetriebs oder Start-Ups. Bei der Festlegung der Rahmenbedingungen sollen die regionalen/nationalen Hersteller und die internationalen Hersteller gleichgestellt werden. Aktuell lässt die Formulierung in der Vernehmlassung Interpretationsspielraum offen.

Harmonisierung der Informationen für die Konsumentinnen und Konsumenten

Derzeitig gibt es eine Informationsflut auf den Verpackungen. Diese sorgen eher für Verwirrungen oder Überforderung bei den Konsumentinnen und Konsumenten, anstatt sie aufzuklären. Ferner stellt die Bereitstellung diverser Informationen/Labels auf den Produkten eine grosse Herausforderung für die Markenhersteller dar – je nach Grösse der Verpackung kann die Überschaubarkeit der Informationen nicht gewährleistet werden.

Die Schweiz soll keine zusätzlichen Labels einführen – diese würden nur zu einem «Swissfinish» beitragen und Handelshemmnisse aufbauen. Die Übernahme einer europäischen Lösung für die Informationsbezeichnungen auf den Verpackungen für die Schweiz wäre zu prüfen, da aktuell noch unterschiedliche Labels und Bezeichnungen auf dem Markt verwendet werden. Grundsätzlich setzen Markenartikelhersteller auf Freiwilligkeit und sehen es als ihre Verantwortung, Kunden, Lieferanten und Verbraucher in ihren Transformationsprozess einzubeziehen.

Kreislaufwirtschaft fördern

Für die Markenartikelindustrie ist die Kreislaufwirtschaft ein wichtiges und zentrales Thema. Heute ist die Schweiz noch weit entfernt von einer Kreislaufwirtschaft. Als «Best Practice» Beispiel könnte die Niederlande fungieren: ihr Ziel ist, dass es bis 2050 nur noch wiederverwendbare Materialien im Umlauf gibt. Bis 2030 haben sie sich das Ziel gesetzt, 50 Prozent weniger Primärressourcen wie Mineralien, Metalle und fossile Brennstoffe zu verwenden.

Die Markenartikelindustrie ist sich ihrer Verantwortung bewusst und arbeitet bereits heute an der Schliessung der Kreisläufe. Der Bund soll diesen Prozess mit klaren Rahmenbedingungen und Anreizen zusätzlich unterstützen bzw. beschleunigen. Dies geschieht nicht nur durch die Sensibilisierung der Bevölkerung, sondern auch indem er private Initiativen (z.B. Prisma) unterstützt und nicht verhindert.

Klima, Energie und Biodiversität

Wir begrüssen die klare Stossrichtung und die ambitionierte Zielsetzung insbesondere im Klimabereich, welcher auch für die Markenartikelhersteller prioritär ist. Das Thema Biodiversitätsverlust dürfte hingegen stärker thematisiert werden, da Zahlen bzw. Vergleichswerte zum aktuellen Stand der genetischen Vielfalt fehlen.

Die Markenartikelindustrie leistet bereits heute einen Beitrag, indem sie sich mit eigenen Initiativen engagiert, um die Nachhaltigkeitsziele zu erreichen. Eine grosse Mehrheit der Promarca Mitglieder publiziert regelmässig ihre Fortschritte in Nachhaltigkeitsberichten.

 

Im PDF finden Sie unsere Stellungnahme zum Download.

Ruinart étui seconde peau

Depuis près de trois siècles, la Maison de champagne Ruinart s’est engagée à fournir un effort continu pour réunir l’esthétique, l’authenticité et la bonté tout en se concentrant sur la préservation de l’essentiel. Ce faisant, Ruinart s’efforce de créer, à tous les niveaux, un « art de vivre » français plus durable et un luxe conscient.

En 2020, Ruinart rompt avec la tradition des coffrets cadeaux individuels et pousse plus loin son approche globale et environnementale avec l’innovation de l’étui seconde peau. Cet étui éco-conçu remplace tous les coffrets cadeaux actuels et épouse exactement la forme emblématique des flacons de la Maison tout en préservant l’intégrité du goût Ruinart jusqu’à la dégustation.

En révolutionnant son packaging, la Maison Ruinart met son esprit d’innovation au service du développement durable : alors qu’un grand coffret cadeau en carton et en plastique avait un sens dans le passé, un habit composé à 100% de fibres de cellulose, entièrement recyclable, et réduisant ainsi de 60% l’empreinte carbone de l’emballage de la bouteille est plus adaptée au monde et à la conscience d’aujourd’hui. L’innovation durable, de l’étui seconde peau prône un retour à la nature et au naturel : il vise à réduire les déchets et à recycler les matériaux sans dénaturer ni l’expérience, ni le goût. Hommage direct aux Crayères de Ruinart en Champagne, la coque minimaliste en papier se double d’un toucher doux et d’une surface texturée qui rappellent les caves historiques de la Maison, à Reims. Elle suggère une nouvelle gestuelle, une matérialité disruptive et un design adapté à un art de vivre engagé.

Aujourd’hui, Ruinart bouscule les normes de l’industrie des vins et spiritueux et réinvente l’expérience du cadeaux en mettant la durabilité au cœur de chaque occasion d’offrir, un nouvel art d’offrir. Ruinart a fait du développement durable une source d’innovation : une force motrice de la créativité. L’étui seconde peau a été développé au sein d’un environnement naturel remarquable où essais et innovations se sont multipliés.

Le manufacturier James Cropper a été créé en 1845, sur les rives du parc national du Lake District, entre l’Écosse et l’Angleterre, où il a développé un savoir-faire unique. L’entreprise familiale, spécialiste du travail du papier, mène des actions innovantes dans le respect d’un paysage classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle y puise l’eau indispensable à la création de l’étui seconde peau, avant de la restituer à 91% sans l’altérer. Les 9% restant s’évaporent pour moitié lors du séchage de la pâte à papier, et l’autre moitié correspond à l’humidité naturelle présente dans l’étui.

En premier lieu, les caractéristiques primaires ont été déterminées grâce à une modélisation informatique. Puis des moules gravés de détails créés spécialement pour Ruinart ont été mise au point. Ils ont ensuite été plongés dans les bains de pâte de cellulose liquide puis pressés pour que les fibres s’assemblent et forment une coque de papier blanche en trois dimensions. Un résultat obtenu sans plastique, ni colle. En se fermant, le monobloc épouse exactement la forme du flacon et se dote de finitions élégante, comme autant de références au patrimoine Ruinart.
C’est en Champagne, terroir unique, que l’étui est assemblé manuellement au précieux flacon qu’il habillera telle une seconde peau. L’étui seconde peau : il remplace tous les coffrets cadeaux de Ruinart Blanc de Blancs et Rosé, les produits phares de Ruinart dans le monde, qui représentent 25% de la production mondiale.

  • 2 ans de recherche et développement
  •  7 prototypes avant d’arriver à la version finale
  • 9 fois plus léger que la génération précédente de coffrets cadeaux
  • 60% de réduction de l’empreinte carbone par rapport à la génération précédente de coffrets cadeaux, avec des emballages produits selon la méthode du BEE (Bilan Environnemental des Emballages) de l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) par rapport à la précédente génération de coffrets
  • 100 % du papier provenant de forêts européennes éco-gérées*

Le design de l’étui réinterprète la gestuelle des établissements gastronomiques : il est inspiré de la manière dont les maîtres d’hôtels enroulent une serviette blanche autour des bouteilles de champagne. La seconde peau n’a délibérément pas été brevetée pour offrir à l’industrie des vins et spiritueux la possibilité de se raffiner dans le monde d’aujourd’hui et de relever les défis environnementaux. Le seul élément que Ruinart voudrait faire breveter est le système de scellage marqué de la marque.

*hors étiquettes papier ARTISAN BLANC PLUS FSC – S207N – BG45WH IMP FSC

9 Fragen an Valery Henle

Thomas Breitlinger im Interview mit Valery Henle, Managing Director bei Dr. Oetker Schweiz. Valery Henle kam 2014 zu Dr. Oetker Schweiz. Zuerst war sie als Product & Category Manager tätig, später als Marketingleiterin, bevor sie zum Managing Director ernannt wurde. Henle machte zuerst eine Banklehre. Nach der Berufsmatura absolvierte sie an der ZHAW ein Betriebswirtschaftsstudium und sammelte anschliessend praktische Berufserfahrungen bei Unilever und Nestlé. Dr. Oetker ist seit 1950 in der Schweiz tätig. Der Hauptsitz befindet sich im solothurnischen Obergösgen. Das Interview finden Sie unter PDF.

Dieser Beitrag ist durch eine  Kooperation zwischen PROMARCATM  und dem Magazin persönlich entstanden.

Promarca lehnt die Festlegung eines Mindestzoll-Ansatzes für Zucker ab

Promarca lehnt die Festlegung eines Mindestzollansatzes für Zucker im Landwirtschaftsgesetz (LwG) aus folgenden Gründen ab:

Verschlechterung der Rahmenbedingungen für Markenartikelhersteller: Mehr als zwei Drittel der befragten Promarca Mitglieder geben in einer internen Umfrage an, dass sie aktuell mit der Standortattraktivität der Schweiz zufrieden sind. Allerdings sind sie der Meinung, dass sich die Attraktivität in den nächsten 5     Jahren eher negativ entwickeln wird. U.a. geben sie folgende Gründe für diese Einschätzung an: Der Kostendruck auf in der Schweiz hergestellten Produkten nimmt zu; Initiativen zum Schutze der Landwirtschaft führen zu Überregulierungen und der Produktionsstandort Schweiz führt zu hohen Kosten. Die Rahmenbedingungen und das Marktumfeld haben sich in der Schweiz zunehmend verschlechtert. Um die Wettbewerbskraft der Schweiz zu stärken, wären Massnahmen zur Öffnung der Landwirtschaft dringend erforderlich. Agrarprotektionismus bewirkt das Gegenteil.

 Monopolstellung der Schweizer Zucker AG: Lebensmittelhersteller, welche ihre zuckerhaltigen Produkte mit der Herkunftsbezeichnung «Swissness» beschriften wollen, müssen die Anforderungen gemäss dem Markenschutzgesetz erfüllen. Konkret heisst das, dass die Verwendung von Schweizer Zucker für die Produkte eine Bedingung ist. Faktisch wird der Schweizer Zucker AG eine Monopolstellung eingeräumt, was schlussendlich nicht wettbewerbsfördernd ist.

Dauerhafter Mindestgrenzschutz verursacht generell höhere Preise: Eine gute Zusammenarbeit mit der Landwirtschaft ist für Lebensmittelhersteller extrem wichtig und sollte auch gefördert werden. Der vorgeschlagene Mindestgrenzschutz für Zucker begünstigt höhere Preise, was den laufenden politischen Diskussionen und Initiativen noch zusätzlichen Aufwind geben könnte.